vendredi 29 mai 2009

Stage pyrénées : Jour 4 (24/05/09) - La Finale et la fin

Donc réveil aux aurores pour une dernière petite sortie avant le grand retour.

Petit dèj normal (1 kiwi ? Ben non, toujours pas ! Ils sont toujours pas murs !) et départ vers 8h00.

Une fois de plus, le plafond nuageux est bas et menaçant


Parcours 4 :

Il s’agit d’un aller retour vers le col de Peyresourde, en passant par Arreau.



Vous trouverez dans l'archive 2009-m05-24-Ancizan.rar les fichiers gps, Google Earth, etc ...

(supprimer la partie _renamed à la fin du fichier)


Départ très doucement pour tout le monde, la fatigue est là et les selles commencent à gagner la bataille ! ! ! !

On décide de rester grouper jusqu’au pied du col soit près de 10 km… seulement l’intestin de Cyril en a marre et fait des siennes ! ! !

Un arrêt pipi et les choses sérieuses peuvent commencer, c’est sans compter sur la pluie qui fera son apparition progressivement jusqu’au sommet accompagnée de son copain le vent froid… brrr.

Le sommet du col nous réserve un plaisir supplémentaire, la montée de la station de Peyragudes (2km supplémentaires ! !)

Les seulement 8% de moyenne de l’ascension en font une des plus faciles malgré la fatigue… le coup de pédale montagnard arrive ! !


Une photo au sommet dans le froid et vite on redescend ; GDB équipé de la caméra part derrière pour faire une descente a fond, sur une route glissante…. Accompagné de Jacques (dit aussi hurgo dans une autre vie…) et le Prez …tiens les 3 plus gr…enveloppés… Laurent est tout proche, il descend aussi vite sur le sec que le mouillé … il est fort cet expert ! !




Le retour à Arreau à plus de 50 km/h sera la dernière sollicitation physique du week-end…


De retour au Gîte, tout le monde se met en mode Femme … (rangement et ménage)….

Retour des kiwis en Touraine !

Un bon dernier repas pour prendre des forces avant le long trajet qui nous attend….

Et vers 13h30 soit avec 30 min d’avance sur le programme, nous sommes dans la bétaillère et prêts à partir.


Pauline et Laurie vous devez passer au paragraphe suivant…

Un dernier PET …. De J. Roucasse, le plus beau : je vous raconte…. La gentille dame du Gîte qui arrache des plantes dans le bac a fleurs (celui où jacques a pissé dedans ! ! !) est assise tranquillement. Jeff est avec nous (derrière le mur dans la rue) mais légèrement en retrait et à la vue de la dame, et là THE PET énorme, un petit sourire, (on commence à avoir l’habitude) Le prez remonte la rue pour passer un coup de fil et se rend compte que la dame regarde J. Roucasse avec des yeux bizarres ….elle a entendu l’attaque nucléaire…. Bon ça ne vous fait pas rire mais nous on a beaucoup rit……


Le trajet retour s’est fait sans encombres, et vers 21h00 nous revoilà tous chez nous prêt a aller se coucher…


Les Photos :

Stage pyrénées

jeudi 28 mai 2009

Stage pyrénées : Jour 3 (23/05/09) - La Rando

Nouveau réveil à 7h00-7h15 en fanfare et en trompette (les murs en vibrent encore).


Gros petit dèj (1 kiwi ? Ben non, toujours pas ! Ils sont pas murs !) pour partir vers 9h00 pour la troisième étape et la montée du Pla d’Adet qui, depuis que nous l’avions jaugé de loin, nous avait donné des cauchemars pour la nuit. Le programme du jour est donc : échauffement jusqu’à la route des lacs puis Pla d’Adet….
Le ciel est chargé de nouveau ce matin. Départ à l’heure ; les plus courageux disent : « S’il pleut je fais demi-tour ! »

Après seulement 500 m de vélo, les premières gouttes apparaissent…. Finalement nous prenons la direction du Plat d’Adet, à froid…


Parcours 3 :
Vieille Aure, Montée et descente du Pla d’Adet, Saint-Lary puis succession de faibles montées jusqu’à Fabian sur la commune d’Aragnouet avant de prendre la route des Lacs fermée aux voitures au moment où nous l’empruntons (nous croiserons tout de même quelques véhicules). En fait, la dernière partie de la route pour atteindre le lac de Cap de Long était impraticable. Après la montée jusqu’au lac d’Orédon, la redescente jusqu’à Fabian. Puis retour au gite par Saint-Lary. 75 km … presque 5h00


Vous trouverez dans l'archive 2009-m05-23-Ancizan.zip les fichiers gps, Google Earth, etc ...

(supprimer la partie _renamed à la fin du fichier)


Départ prudent en direction du Pla d’Adet où nous attend notre destin. Soudain Jacques démarre et maintient l’effort en jetant quelques coups d’œil sur ses arrières … Personne ne bronche ! Encouragé, Jacques franchit la pancarte du camping, semble hésiter et se laisse finalement rattraper. La pancarte de Saint-Lary se jouera finalement 1 km plus loin. Précoce, Jacques ?

Enfin, nous arrivons au pied de la montée du Pla d’Adet.


Pendant que les autres membres du groupe s’éloignent, l’expert et GDB installe une mini-caméra sur le vélo de l’expert. Il prendra le départ en dernière position avant de remonter tout le monde. Le départ du Pla d’Adet, très raide, calme les ardeurs.







Le vent d’Ouest fait sentir sa présence dés que le terrain se découvre. Quelques gouttes de pluie viennent également s’en mêler mais sont très supportables tant les organismes s’échauffent dans cette épreuve. La pente devient plus clémente au fur et à mesure de la montée. Romu en profitera pour revenir sur Laurent avant que celui-ci, impérial, ne s’échappe définitivement en fin de montée où la pente se redurcit à nouveau.










Cyril sera le dernier et le huitième à rejoindre le sommet. Le groupe redescend alors pour retrouver Jacques arrêté, dans le doute, au carrefour de la route d’Espiaube 170 m plus bas et 3 km plus loin.
Le début de la descente est difficile en raison des rafales de vent qui nous obligent à tenir fermement le guidon du vélo afin d’en limiter les embardées. Heureusement, la route revient à couvert et le groupe peut enfin lâcher les freins.

Cette descente sera fatale au boyau arrière de notre ami Pat. 10 mn plus tard après avoir débattu de la résistance comparée des boyaux et des pneus et de leurs différentes qualités, et après l’ingérence de Jacques dans les opérations de changement de boyaux (et sous les « encouragements » de notre prez), nous pouvons repartir, Pat avec un boyau neuf.

Nous empruntons alors la route départementale vers l’Espagne. Le groupe, face au vent, soutient l’effort dans la succession de côtes et de descentes modérées, au prix de la perte de certains de ces membres : d’abord Jacques, puis Cyril, puis un groupe, composé du Prez, de la Crampe et de GDB, prétextant d’attendre les retardataires pour souffler un peu. Un arrêt au début de la route des lacs permettra à Cyril de rejoindre ce dernier groupe et d’entamer la montée à 4 sur un rythme propice à soulager les organismes déjà rudement éprouvés et souffrant déjà sous la température croissante.

La montée sous le soleil est magnifique. Une barrière ainsi qu’une voiture de la police municipale interdit le passage aux voitures mais les vélos peuvent passer ; nous croiserons tout de même quelques véhicules trop rares pour gâcher la tranquillité du site.


Aux quelques cascades rencontrées et qui apportent une fraicheur bienfaisante viennent bientôt s’ajouter quelques plaques de neige qui se font de plus en plus nombreuses.


Une marmotte a bien traversé notre route mais Laurent reste le seul ours que nous ayons rencontré du Week-end. Au fur et à mesure, les débris végétaux et les cailloux, abandonnés par les congères maintenant fondues, encombrent la route.


Cyril est maintenant quelques mètres plus bas. Peu avant l’arrivée au lac d’Orédon, Jeff redescend à notre rencontre et nous informe que la neige a envahi la route et que le reste du groupe essaie de franchir les obstacles à pied. Le Prez choisit de rester avec Jeff, tandis que la Crampe et GDB décident de rejoindre les autres. La montée se transforme en Cross Country, obligeant parfois à poursuivre à pied. Après avoir vu redescendre tous les autres membres du groupe, nous atteignons enfin la plate-forme du Lac d’Orédon qui s’étend sous nos yeux. Malgré la route presque complètement envahie par la neige, la Crampe fera une tentative vers le lac de Cap de Long.


Nous rebroussons chemin laborieusement pour retrouver le groupe (sans le Prez et Jeff qui ont décidé de rentrer et Jacques qui cherche ses lunettes plus bas). La descente magnifique réclame néanmoins toute notre attention en raison des débris présents sur la route.



Le retour par la route départementale sera l’occasion de mettre un peu de rythme dans cette sortie avec une vitesse jusqu’à Saint-Lary comprise entre 50 et 60 km/h.

Avant d’arriver au gite, la résistance des boyaux est de nouveau mise à mal avec une nouvelle crevaison pour Pat qui avait décidé de prolonger la sortie avec quelques courageux (l’expert, le mécano et la Crampe). Un changement de roue éclair et les voilà repartis jusqu’à Arreau pour faire la montée d’Ardengost.

Pendant ce temps, les récents arrivés effectuent un exercice de transition douloureux, pour la plupart, mais qui justifie le futur plaisir de quelques bières.

En attendant les courageux partis glaner des points au challenge de la montagne, Le Prez et Jean Roucasse (Jeff) concoctent un fabuleux repas avec du riz et des … légumes… (C’est quoi ça ? y’a pas de pates ??)


Une très légère sieste pour certains, le temps restant étant compté pour aller a la chasse aux cadeaux. « Si pas de cadeaux tu ramènes, en stage tu ne retourneras pas »…

C’est en tenue plus civilisée que notre ennéade part en conquête du « cadeau » souvenir. De plus la mission est de trouver un cadeau pour remercier PP de son accueil et de CENSURÉ… On finira par trouver une pelle a tarte avec le manche en forme de teckel irradié…

Intersport, bibloland et produitduterroirquicoutecher visité, nous suivons les conseils d’une commerçante du coin pour le resto… ce soir on mange chez Lulu… En effet, la décision a été prise, il faut aussi goûter à la spécialité du coin, la garbure, (soupe avec tout ce qui peut-être manger…)

Retour au gîte pour le traditionnel goûter (bière TUC). Et se reposer un peu ! !

20h00, départ vers le resto pour notre dernière soirée, un resto en pleine montagne, dans un cadre sympathique. Garbure, assiette de charcuterie, Mouton (ou porc pour l’expert qui ne fait jamais comme les autres ! !) grillé, frites/salade/haricots, et dessert…. Tout cela arrosé de polyphénols bien évidement…

La fatigue étant bien présente et le réveil du lendemain, décalé 1h plus tôt pour partir à 8h00, impose à tous de partir se coucher direct après le repas…

Les Photos :

Stage pyrénées

mercredi 27 mai 2009

Stage pyrénées : Jour 2 (22/05/09) - L'étape marathon

Réveillés 6h00 par un troupeau de mouton qui passe dans la rue avec tous une belle cloche qui résonne ! ! ! (verdict !)

Lever 7h30, petit dèj costaud (1 kiwi ? Ben non ! Ils sont pas murs !) pour partir vers 9h00 pour la deuxième étape. Ciel chargé et plafond nuageux très bas …. Pas la peine de mettre de la crème solaire ! !


Parcours 2 :

Arreau, Col d’Aspin, descente vers Ste marie de Campan, montée vers La Mongie et peut-être le col du Tourmalet (finalement malgré les panneaux la route sera bien praticable) puis retour à Ste Marie, remontée par l’hourquette d’Ancizan (avec possibilité de rallonger de quelques kilomètre par la montée de Sarrat le bon) et enfin descente jusqu’au gîte. 100 km … 5h00 en moyenne.



Vous trouverez dans l'archive 2009-m05-22-Ancizan.zip les fichiers gps, Google Earth, etc ... (supprimer la partie _renamed à la fin du fichier)


Départ sur les chapeaux de roue au pied du col d’Aspin malgré les croissants et pain au chocolat encore en travers de la gorge. Chacun monte à son rythme car la journée va être longue, la belle surprise arrive à 5 km du sommet avec le passage au dessus de la couverture nuageuse et l’apparition du beau et chaud Soleil !


Romu arrive victorieux au sommet après un sprint fabuleux… et sans vomir ! ! ! moins de 10 minutes plus tard, GDB clos l’ascension du groupe 1à 7…. Cyril a prévu d’aller à La Mongie seul et jacques de se contenter de couper à Ste Marie.



Une belle descente sans encombres fermée par Laurent qui a la même moyenne en descente qu’en montée…. Un arrêt ravito et débâchage à Sainte Marie et c’est parti pour l’ascension du col du Tourmalet ou col du Malet pour Jacques… 16 km a grimper, le début est beau et pas trop dur puis arrive le MUR de La Mongie des passages a 25% de pente enfin 11 ou 12 mais pendant 2 ou 3 km. Puis la traversée de La Mongie encore plus raide, puis les 4 dernier km du col du Tourmalet, parcouru a un vitesse énorme de 8 à 9 km/h… au milieu de la neige (des parois de 3 à 4m de neige de part et d’autre de la route) une ascension inoubliable.



La bonté de Gilles (redescendu pour finir avec GDB) lui sera préjudiciable puisque les crampes attaquent ! ! !



Redescendus à La Mongie où Cyril nous attendait, nous faisons une pause Coca/Perrier citron dans un bar.



Nous en profitons pour contempler le paysage et la faune locale…



Retour à Ste Marie de Campan pour refaire le plein, deux solutions se profilent : retour direct par l’Hourquette ou crochet par Sarrat ?

Seul 3 courageux ( l’expert, le mécano et le prez) feront le crochet supplémentaire


La Montée de l’hourquette, magnifique col sans grandes difficultés apparente fut éprouvante pour tous ; la chaleur écrasante fut même presque fatale pour Gilles « dit la crampe » qui après quelques coup de pédale fit un enchaînement étirements sur une souche et marche à pied en vélo… Le Prez (dernier à ce moment de l’ascension du fait du crochet par Sarrat) fut pris de remords et fit la montée en sa compagnie après lui avoir donné son bidon d’eau. L’arrivée des secours (Jacques avec la bétaillères) permit à Gilles « dit la crampe » de refaire le plein d’eau et de finir courageusement l’ascension de l’hourquette après 28 arrêts crampes.



Le repas fut pris dès l’arrivé afin de profiter la fenêtre glucidique, les organisme avait un grand besoin de se recharger…


Après un rapide bilan des coups de soleil (le grand vainqueur étant la prez qui a payé cher sa solidarité ! !), il faut aller faire le plein du frigo à Saint Lary.



C’est en tenue légère et très tendance que nous primes la direction du centre ville de Saint-Lary pour aller à la chasse au 27 dents ! ! ! Gilles a tiré une grande leçon de la montagne … et ne voulait plus se voir déposer par Cyril de cette manière ! ! !



Malgré le court (heureusement) trajet en bétaillère, nous eûmes le temps d’apprécier la qualité de nos différentes performances digestives. Les yeux se mettaient à piquer et Pat commençait à craindre que la moquette ne change de couleur et qu’il ne puisse récupérer la caution.

Ce fut aussi l’occasion d’admirer les 1ers km de la montée du Pla d’Adet, prochain objectif qui nous défiait de Saint-Lary.



A Saint-Lary, le défilé des Bidochons permit de déclarer le Prez : Roi des bidochons au foutagedegueulemetre des passants ! ! !



De retour au chalet, et après le gouter (bières + TUC), Gilles s’affaire à allumer le barbeuc pendant que Jacques « dit : la gaffe » s’occupe du dégât des eaux causé par la machine à laver (il l’a ouverte pleine d’eau !) et permet un grand nettoyage du RDC du gîte. Les 7 autres étant occupés a encourager le roi de la mécanique à monter le 26 dents pour Gilles.



Le repas du soir permit de se faire une grosse partie de rigolade et la mise au point des challenges annexes…


Les Photos :

Stage pyrénées

Stage pyrénées : Jour J (21/05/09) - le départ vers les montagnes :

Petit dèj aux aurores pour un départ programmé à 9h00, direction … le Géant casino pour faire les courses…


Après un rapide retour a la case départ pour aller rechercher la liste de course oubliée, nous voilà dans le magasin pour faire nos provisions du week-end : Fruit
(kiwis de carrière, pouvant être écrasés lancés contre les murs … sans s’abimer), légumes, viandes, pates, riz …. Et surtout bières, Tuc, polyphénols et PQ.

De son côté, PP faisait les frais des blagues potaches de Cyril, qui avait choisi, quant à lui de finir les stocks de PQ des chaleureux bordelais. Heureusement, PP a pu se rabattre sur les quelques plantes qui agrémentent l’intérieur girondin : ficus, palmier, laurier, basilic …. En plus, elle a fait l’économie de déo pour la journée.

Plus de 3h00 de route plus tard, nous voilà à Ancizan (le village où nous avons élu domicile pour le week-end).


On décharge vite la bétaillère, les chambres sont prises d’assaut, les courses sont rangées (les pommes sont disposées avec les kiwis, les phénols des premières favorisant le murissement des seconds – vous le saviez pas ça, hein ?? – si, si, Laurent le savait, c’est normal, c’est l’expert) et c’est parti pour la première escapade cyclotouristique.



Avant de vous raconter les 4 étapes de notre périple, voici les points attribués sur les deux classement :

Pancarte 4 – 2 – 1
Col 10 – 8 – 6 – 5 –4 –3 –2 –1
Les pancartes en Col et en descente ne comptent pas…

Parcours 1 : départ vers 16h00
Arreau, montée du pont du Prat vers Tramezaygues , retour vers Loudenvielle pour monter le Col du Val Louron – Azet, et retour à la maison : 60 km en environ 3h00.


Vous trouverez dans l'archive 2009-m05-21-Ancizan.zip les fichiers gps, Google Earth, etc ... (supprimer la partie _renamed à la fin du fichier)

Cette petite mise en jambes a permis de démontrer la suprématie de Cyril sur les pancartes (après une belle échappée au long cours dans la vallée) et de Jacques dans le col d’Azet… Certes nous attendions Jaques à Avajan pendant que Cyril engrangeait des points Pancartes et Jacques a ensuite filé directement vers le col d’Azet pendant que nous revenions sur Cyril et nous dirigions vers le pont du Prat… mais c’est comme ça ! ! !


Un temps clément mais légèrement venteux, une première sortie tranquille et très agréable. Déjà les groupes se forment dans les cols et nous parvenons vite à distinguer les 9 différents groupes…. La belle descente du col d’Azet permet déjà de faire monter l’adrénaline…. une belle performance : quelques moutons évités, des accotements visités mais pas de chutes …

Après la bière d'arrivée, un peu de mécanique pour sauver Gilles qui après sa déception de pouvoir installer son plateau de 34 (sans pédalier compact c’est pas évident) réussit à se faire mettre un 25 à l’arrière…39x23 en montagne c’est un peu juste…


1er soir, un bon plat de pâtes à la bolo, accompagné des habituels polyphénols, pour recharger les batteries avant l’étape marathon du lendemain. Et déjà, 1ère question technique, comment se connecter à Internet pour informer le reste du monde de notre stage… c ‘est un problème de maux d'hème ! ? !. 45 minutes plus tard GDB dit aussi l’expert en informatique… abandonne.


Déjà l’air de la montagne fait effet (ainsi que les oignons) et l’air pur se transforme vite en air saturé en H2S (gaz incolore, mais rarement insonore, responsable des mauvaises odeurs dans les stations d’épuration).

Les Photos :
Stage pyrénées